3 mai 2024 — 19h30
- Danse
Sonore Dés_Accord
Chorégraphe — Benjamin Hatcher
Une production de Danse-Cité, en collaboration avec Benjamin Hatcher. Avec le soutien financier du Conseil des arts et des lettres du Québec et du Conseil des arts du Canada. En co-présentation avec la BIGICO, diffuseur spécialisé en gigue contemporaine.
Description
C’est en réunissant sept interprètes issu.e.s d’une communauté artistique où la musicalité du corps et la rythmicité sonore du pied au sol prévalent, que Benjamin Hatcher a composé SONORE DÉS_ACCORD.
SONORE DÉS_ACCORD se veut un microcosme, un lieu de rencontres d’individus vulnérables, fébriles, précaires dans leurs relations humaines. Leur stabilité collective est mise à l’épreuve et ébranlée. Chacun.e entre dans une quête de soutien, de reconnaissance, d’humanité. En déstabilisant les acquis physiques et techniques des sept danseur.se.s entre autres formé.e.s en gigue traditionnelle et/ou contemporaine, et en plaçant sa préoccupation du son au cœur de sa recherche chorégraphique, Benjamin, aux côtés de ses concepteurs Pierre-Luc Senécal – composition musicale, Simon Deraspe – éclairages, Cloé Alain-Gendreau – costumes, élaborent un manifeste de groupe sensible.
Le spectacle Sonore Dés_Accord sera suivi d’un jam avec des musiciens de musique traditionnelle issu.e.s de la formation La Marée Montante. Poursuivez la soirée avec nous de 20 h 45 à 21 h 45 avec plus beaux pas de gigue!
Un atelier d’introduction à la gigue est offert gratuitement avant le spectacle de 17 h à 18 h. Les places sont limitées et l’inscription est obligatoire en remplissant le formulaire.
Voir le programmeEn coulisse
Distribution
— Interprète à la création
— Interprète à la création
— Interprète à la création
Conception
— Chorégraphe
— Composition musicale & interprétation
— Assistant à la production musicale
— Conception sonore
— Éclairages
— Costumes
— Répétitrice
— Conseiller artistique
— Photo
Critiques
« Accordant une grande importance à l’intention du geste, à l’importance du toucher, du regard et du contact entre les interprètes, le langage chorégraphique de Benjamin Hatcher parle d’altruisme, de solidarité… »
Le Devoir, Sylvie St-Jacques